Les Applications Exercices 1 Bac SM Série 4

Exercice 1:

Soit f l’application définie par:
f:IR2IR2
(x, y)➝(x-y, x^{2}-y^{2})

1) f est-elle injective ? justifier votre réponse.

2) Résoudre:
dans IR2, l’équation f(x,y)=(0,z) 
avec zIR f est-elle surjective?

Exercice 2:

Soit f l’application définie par:
 f:IR2IR2
(x, y)➝(x+y, xy)

1) \(f\) est-elle injective ? justifier votre réponse

2) f est-elle surjective ? justifier votre réponse.

Exercice 3:

Soit f l’application définie de IR2 vers IR2
par: f((x,y))=(x2y,2x+y)

Montrer que:
f est bijective et déterminer la bijection réciproque f1.

Exercice 4:

Soit f l’application définie de IR2 vers IR2 par:
((x,y)IR2),f((x,y))=(xy,y+2)

1) Résoudre:
dans IR2 l’équation f((x,y))=(0,2). f est-elle injective ?

2) Résoudre:
dans IR2, l’équation f((x,y))=(z,2) avec zIR.
f est-elle surjective ?

Exercice 5:

On pose E=]0,+[x]0,+[. Soit f l’application définie de E vers E par:
((x,y)E),f((x,y))=(xy,xy)

Montrer que:
f est bijective et déterminer sa bijection réciproque f1.

Exercice 6:

Soit f une application de E vers F
Soient A et B deux parties de E

Montrer que:
1) ABf(A)f(B)
2) f(AB)=f(A)f(B).

Exercice 7:

Soit f une application de E vers F 
Soient Aet B deux parties de E
 
Montrer que:
1) f(A∩B)⊂f(A)∩f(B).
2) Si f est injective alors f(A∩B)=f(A)∩f(B).

Exercice 8:

Soit f une application de E vers F
Soient A et D deux parties de F

Montrer que:
1) A⊂D➝f1(A)f1(D).
2) f(1(AD)=f1(A)f1(D).
3) f(1(AD)=f1(A)f1(D).

Exercice 9:

Soit f une application de E vers F
1) Soit A une partie de E

Montrer que: 
Af1(f(A))2) Soit B une partie de F

Montrer que:  f1(f(B))B

Exercice 10:

Soient E un ensemble non vide et A une partie de E telle que A ≠Ø et A ≠E
On considère l’application f:
définie de P(E) vers P(E) par:
(∀X ∈ P(E)): f(X)=X∩A
1) Déterminer f(A),f(Ø),f(E),f(A¯).
f est-elle injective ? Justifier.

2) a- Déterminer f1(A¯). 
f est-elle surjective ?
b- Déterminer l’ensemble:
F={X ∈ P(E), f(X)=X}. 
Et en déduire que f est surjective de P(E) vers P(A).

Exercice 11:

Soient E un ensemble non vide et A une partie de E
telle que A ≠Ø et A ≠E
On considère l’application f:
définie de P(E) vers P(E) par:
f(X)=XA

1) a- Déterminer f(A),f(Ø),f(E),f(A¯).
b- f est-elle injective ? Justifier votre réponse.

2) Déterminer f1(Ø)f est-elle surjective ?

Exercice 12:

Soit f l’application définie de IN* vers IN par:
f(n)=n3n1)

1) Montrer que: f est injective.

2) f est-elle surjective ? justifier votre réponse.

Exercice 13:

Soit f l’application définie de [1,+∞[ vers ]0,2]par:
f(x)=x+1x1

Montrer que: f est bijective
et déterminer sa bijection réciproque f1

Exercice 14:

Soit f l’application définie de [1,+∞[ vers IR par:
f(x)=x2x1

1) Résoudre:
dans [1,+∞[ l’équation f(x)=1,  
f est-elle injective ? Justifier votre réponse.

2) Montrer que:
∀x ∈[1,+∞[: f(x) ≥ 0.
f est-elle surjective ? Justifier votre réponse.

3) Soit g la restriction de f à [2,+∞[. 
Montrer que 
g est une bijection de [2,+∞[ vers [0,+∞[puis déterminer sa bijection réciproque g1.

Exercice 15:

Soit f l’application définie de [2,+∞[ vers [1,2[ par:
f(x)=x+x24x.

Montrer que: f est bijective
et déterminer sa bijection réciproque f1.

Exercice 16:

Soit f l’application de IR+ vers IR par:
f(x)=xx+1

1) Montrer que:
∀x ∈]0,+∞[; f(1x=f(x)f est-elle injective.

2) Montrer que:
(x[0,+[),0f(x)12.
En déduire que:
f([0,+[)=[0,12]

3) Soit g la restriction de f sur [1,+[.

Montrer que:
g est bijective de [1,+∞[ vers ] 0,\frac{1}{2}]
et déterminer sa bijection réciproque g1.

Exercice 17:

Soit f l’application définie de IN² vers IN par: 
f((m,n))=2n(2m+1)

1) Montrer que:
pour tous p,q et q de IN tels que:
 q et q sont deux nombres impairs on a: 
si 2p×q=q alors p=0.

2) En déduire que I’application f est injective.

Exercice 18:

Unicité de l’écriture x=E(x)+α où α∈[0,1]
Soit x un nombre réel. 
On sait qu’il existe α∈[0,1]
tel que : x=E(x)+α.

Montrer que l’écriture x=E(x)+α est unique.

Exercice 19:

On considère l’application:
U: IN*➝ IR*
n1n

Montrer que:
∀a ∈]0,+∞[,∃ p ∈IN, n ≥ p ➝ 1n<a

Exercice 20:

On considère la fonction f définie sur IR par:
f(x)=E(x)E(x) est la partie entière de x Soit (C) la courbe représentative de f relativement à un repère orthonormé (O,i,j).

1) Montrer que:
f(x+1)=1+f(x) pour tout réel x
et interpréter le résultat géométriquement.

2) Montrer que:
f est croissante sur IR.

3) Soit (Γ) la portion de (C) correspondante à l’intervalle [2,1[.
a- Construire ( Γ ).
b- En déduire:
la construction de la portion de (C) qui correspond à l’intervalle [-2,3[4) a- Calculer f(1,5) et f(1,5).
b- En déduire que:
f n’est ni paire ni impaire.

5) Soit g l’application de IR vers Z définie par: 
g(x)=E(x).
a- Montrer que g n’est pas injective.
b- Montrer que g est surjective.